30.3.11

Recueil de fables de La Fontaine

Recueil de fables de La Fontaine.
Traduites en kabyle, chaouia, m'zab, hébreu et arabe



Adda Fredj,
68 p. (1ère éd. 1893).

Ouvrage scolaire illustré (N&B).

Cet ouvrage, comme le souligne son traducteur, est destiné, en premier lieu, à mettre Les fables de La Fontaine à la portée des élèves. Parmi ces fables, douze sont choisies des plus faciles à comprendre et des plus propres à intéresser les élèves. 

Les douze fables : 
-Le Corbeau et le Renard
-La Cigale et la Fourmi
-Le Lion malade et le Renard
-Le Loup et l'Agneau
-Le Rat de ville et le Rat des champs
-La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf
-Le Renard et le Bouc
-Le Renard et la Cigogne
-La Mort et le Bucheron
-Le petit Poisson et le Pêcheur
-Les deux Mulets
-Le Loup et la Cigogne

La fable est d’abord reproduite telle que le poète l’a créée, au dessous, on trouvera la même fable en prose, exposée le plus simplement possible et enfin cette même prose avec traduction. Pour le berbère, la reproduction est en caractère latin et la transcription adoptée est celle du Général Hannoteau. 

Adda FREDJ, ancien élève de l'école normale et de l'école supérieure des Lettres d'Alger. Instituteur titulaire. Brevet pour les langues arabe et kabyle. Membre de la Société Asiatique de Paris.

Jean De La Fontaine (1621-1695). Né en 1621, il étudie au collège de Château-Thierry jusqu'en troisième. En 1641, il entre à l'Oratoire, rue St-Honoré, à Paris. Il quitte cet établissement 18 mois plus tard. Il se remet à ses études de droit et décroche, en 1649, un diplôme d'avocat au parlement de Paris. En 1652, La Fontaine reprend la charge paternelle de Maître des Eaux et Forêts. En 1672, il vend l'intégralité de cette charge. Il meurt en 1695.

Ces fables restent un chef d'œuvre de la littérature française. Jean de La Fontaine s'est inspiré des fables anciennes d'Esope et de Phèdre, qu’il les a considérablement améliorées et écrites dans une langue simple et accessible. En 1694, un an avant sa mort, il publie son dernier recueil des Fables (livre XII).


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15.3.11

Les manuscrits arabes

René Basset.

Les manuscrits arabes des bibliothèques
des Zaouïas de Ain Madhi et Temacin,
de Ouargla et de Adjadja,

83 p.

 

Ces listes bibliographiques sont la continuation de la tâche commencée depuis 1882,  conformément au plan tracé par l’Académie des Inscriptions : faire le recensement aussi complet que possible des bibliothèques arabes existant encore en Algérie, en Tunisie et au Maroc.

On compte pour :  Ouargla : (49 titres) ; Les Beni- Brahim : (49 titres) ; Les Beni-Ouaggin : (37 titres) ; Les Beni-Sissin : (100 titres).  A cette liste, il faut ajouter celle de : Zaouïas de Ain Madhi et Adjadja.

« Mon itinéraire passant par Laghouat et Touggourt, je songerai à profiter de cette circonstance pour faire le recensement des manuscrits que renfermaient, disait-on, les célèbres zaouïas de Aïn Madhi et de Temacin, de l’ordre des Tedjinis.
[…]
M. Bouyac, alors interprète militaire à Laghouat, voulut bien me suppléer et, quelques temps après mon à Alger, je recevais de lui la liste qu’on trouvera ci-après.
A Temacin, où je me rendis de Touggourt, le catalogue de la bibliothèque me fut remis par Si Ma’ammar.
[…]
La tâche était moins aisée à Ouargla : il me fallut aller de maison en maison, accompagné du commandant du poste, M. le lieutenant Le Châtelier, dont la présence détermina les habitants à me communiquer ce qu’ils appelaient pompeusement leurs bibliothèques. A part celle du khouja, elles consistaient en caisses ou en couffins où étaient ensevelis pêle-mêle des volumes complets, des débris de cahiers, des pages isolées, des fragments de comptes ou de prières couverts d’une couche épaisse de poussière, véritables gîtes à scorpion. Il eût fallu une année pour mettre en ordre tous ces débris : le temps et les ressources me manquaient.
[…]
Accroupi sur une natte, au fond d’une cour, dans la mince partie de la maison en pisé où le soleil ne pénétrait pas, je faisais un tirage sommaire des volumes qu’on apportait par couffins devant moi, et de la sorte je pus composer la liste des manuscrits des Beni Brahim (49 titres). Mais, je ne pouvais explorer ainsi tout Ouargla et les qs’our des environs, d’autant que les recherches sur le dialecte zenatia, le touareg aouelimmiden et les langues soudaniennes : le soughaï et le haoussa, objet principal de ma mission, absorbaient la plus grande partie de mon temps.
[…]
M. La Châtelier voulut bien me faire envoyer une liste des volumes relevés dans les autres quartiers et dans le qs’ar de Adjadja, un des plus pittoresques et des moins salubres que j’aie visités aux environs de Ouargla.
[…]
En allant de cette ville à Touggourt, je m’arrêtai à Ngousa où je copiai la chronique des Sult’ans Oulâd Babia que je donne à la fin.

R. Basset.



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2.3.11

Le M'ZAB

PLM

Le M’ZAB

78 p.

(1ère éd. 1930).



Document touristique publiée par le PLM (Paris – Lyon – Méditerranée), réseau Algérien. Nombreuses photographies et illustrations avec reproduction d'une composition de Léon Carré, 2 cartes repliées, 78 pages.  Lignes d'Alger vers Laghouat, Le M’zab, El Goléa, … etc.


Sommaire :

Qu’est-ce que le M’Zab ?
De Laghouat à Ghardaïa.
Ghardaïa.
Les autres villes de la pentapole du M’Zab :
a)                Mélika,
b)                Beni-Isguen.
c)                Bounoura,
d)                El-Ateuf.
Berriane, Guerrara.
El-Goléa, Ouargla.
Histoire du M’zab :
Le schisme mozabite : Son origine.
L’empire Réstémide de Tiaret.
L’installation des Abadites au M’zab.
L’organisation des villes mozabites : Les Tolbas.
Les biens habous.
Le M’zab sous l’autorité française.
La vie sociale au M’zab :
La population du M’zab.
a)                  Les Mozabites.
b)                Les Arabes agrégés.
c)                Les Israélites.
d)                Les Nègres.
La propriété au M’zab.
L’eau.
Les oasis.
Les Industries du M’zab.
La maison mozabite.
Renseignements pratiques.
Comment on va au M’zab ?
Le climat.
A quelle saison doit-on visiter le M’zab ?
Description sommaire de l’itinéraire d’Alger au M’zab.
a)                  par Boghari (chemin de fer).
b)                 par Bousaada (automobile).
Hôtels.


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